Mar­chés finan­ciers

Le rôle éco­no­mique de la place finan­cière suisse reste pré­pon­dé­rant et l’in­dus­trie de la finance repré­sente encore un emploi sur dix. Les mar­chés finan­ciers et des capi­taux ainsi que la liberté d’in­ves­tis­se­ment se sont révé­lés être des moteurs de notre crois­sance éco­no­mique et de notre pros­pé­rité. Dans ces condi­tions, il est d’au­tant plus impor­tant de veiller à ne pas étouf­fer le dyna­misme de la branche et d’évi­ter que les milieux poli­tiques lui imposent des res­tric­tions inutiles. Un mar­ché des capi­taux aussi libre et trans­pa­rent que pos­sible opé­rant dans un cadre régle­men­taire qui tient compte des évo­lu­tions inter­na­tio­nales et des par­ti­cu­la­ri­tés de la Suisse est déci­sif à cet égard.

Notre position

Modé­ra­tion et pré­ci­sion

La place finan­cière joue un rôle fon­da­men­tal pour l'éco­no­mie dans son ensemble et l'évo­lu­tion éco­no­mique du pays. Pour affron­ter l'ave­nir, elle doit être capable de s'adap­ter aux inno­va­tions tech­no­lo­giques, prendre en consi­dé­ra­tion les exi­gences en matière de dura­bi­lité (ESG) vou­lues par le mar­ché, se foca­li­ser sur les besoins des clients et s'ap­puyer sur une régle­men­ta­tion équi­li­brée. La Suisse doit res­ter agile dans le contexte de la concur­rence inter­na­tio­nale et ne pas céder ses avan­tages concur­ren­tiels. La régle­men­ta­tion doit per­mettre à la branche de conser­ver sa capa­cité d'in­no­va­tion et en même temps – dans la mesure où cela est néces­saire – de pré­ser­ver sa com­pa­ti­bi­lité avec des évo­lu­tions inter­na­tio­nales.