Pour une ges­tion res­pon­sable des don­nées

Les don­nées sont consi­dé­rées comme la matière pre­mière de l’éco­no­mie numé­rique. Une ges­tion durable et pru­dente des don­nées est un fac­teur cri­tique de suc­cès pour tous les acteurs. Il faut trou­ver un juste équi­libre entre les inté­rêts des entre­prises, comme des consom­ma­teurs et des uti­li­sa­teurs.

Un groupe de tra­vail inter­pro­fes­sion­nel et inter­dis­ci­pli­naire, com­posé de membres d’eco­no­mie­suisse repré­sen­ta­tifs des dif­fé­rentes branches de l’éco­no­mie et placé sous la direc­tion de Chris­tian Kel­ler, CEO d’IBM Suisse, s’est donné pour tâche d’éla­bo­rer une charte de l’éco­no­mie suisse pour une ges­tion res­pon­sable des don­nées. Aujour­d’hui, nous en pré­sen­tons le résul­tat.

Dix prin­cipes fon­da­men­taux comme autant de pierres angu­laires

En intro­duc­tion, le docu­ment défi­nit dix prin­cipes fon­da­men­taux que l’éco­no­mie suisse s’en­gage à res­pec­ter dans la ges­tion des don­nées à carac­tère per­son­nel. 
Ils sont sui­vis d’une pré­sen­ta­tion suc­cincte de la bonne gou­ver­nance néces­saire dans l'en­tre­prise. Enfin, la ges­tion des don­nées est illus­trée à l’aide d’un cycle de vie en cinq phases – allant de la créa­tion et sai­sie des don­nées à leur effa­ce­ment et des­truc­tion.

Pro­mou­voir la confiance dans la société et auprès des consom­ma­teurs

Les asso­cia­tions sec­to­rielles et les entre­prises qui ont par­ti­cipé à cette charte veulent ainsi pro­mou­voir la trans­pa­rence et la confiance de la société et des consom­ma­teurs. Au tra­vers de la charte, cer­taines asso­cia­tions sec­to­rielles veulent aussi ancrer le code de leur sec­teur. Le docu­ment per­met donc d’har­mo­ni­ser les dif­fé­rents efforts en ce sens. Les acteurs reven­di­quant la charte couvrent un large spectre:

Il ne nous reste plus qu’à sou­hai­ter bonne lec­ture au public inté­ressé et plein suc­cès aux entre­prises dans la mise en œuvre de leurs idées d’amé­na­ge­ment.

Accé­der à la charte