Réponse à une consultation

21.403 n Iv. pa. CSEC-N. Rem­pla­cer le finan­ce­ment de départ par une solu­tion adap­tée aux réa­li­tés actuelles

  • eco­no­mie­suisse sou­tient l’in­tro­duc­tion de mesures effi­caces per­met­tant de mieux conci­lier vie fami­liale et vie pro­fes­sion­nelle, dans le but d’ex­ploi­ter plus effi­ca­ce­ment le poten­tiel indi­gène de main-d’œuvre et de spé­cia­listes et d’at­té­nuer la pénu­rie de main d’œuvre qua­li­fiée.
  • Le coût des mesures doit être pro­por­tion­nel à l’im­pact escompté sur l’ac­ti­vité pro­fes­sion­nelle et à l’ef­fet posi­tif qui en résulte sur la pénu­rie de main-d’œuvre qua­li­fiée.
  • Le pro­jet pré­senté ne per­met pas de savoir dans quelle mesure les dis­po­si­tions pro­po­sées contri­bue­ront à acti­ver de manière signi­fi­ca­tive le poten­tiel indi­gène de main-d’œuvre qua­li­fiée et de spé­cia­listes.
  • Des ques­tions impor­tantes sur le finan­ce­ment croisé et la loca­li­sa­tion des mesures d’un point de vue fédé­ra­liste res­tent par ailleurs en sus­pens.
  • Cer­taines modi­fi­ca­tions doivent être appor­tées au pro­jet pour que les mesures atteignent l’ob­jec­tif d’une meilleure uti­li­sa­tion du poten­tiel indi­gène de main-d’œuvre et de spé­cia­listes. Un fac­teur à consi­dé­rer en par­ti­cu­lier est le cou­plage des sub­ven­tions fédé­rales à l’exer­cice d’une acti­vité lucra­tive.