Oui à AVS 21! Une large alliance s’en­gage pour un ave­nir sûr et durable pour toutes et tous!

Pour un ave­nir sûr, il faut remé­dier au défi­cit de l’AVS. Qui a tra­vaillé et cotisé toute sa vie doit avoir une retraite assu­rée. La réforme est néces­saire en rai­son de l’aug­men­ta­tion de l’es­pé­rance de vie, afin que les futures retrai­tées et futurs retrai­tés reçoivent éga­le­ment leur part pour pou­voir sub­ve­nir au moins à leurs besoins vitaux avec leur retraite. La sta­bi­li­sa­tion finan­cière est donc incon­tour­nable. Grâce à AVS 21, la pré­voyance vieillesse peut être garan­tie pour les années à venir sans que les rentes ne soient réduites. C’est pour­quoi la réforme est un pas soli­daire vers l’ave­nir pour les jeunes et les moins jeunes, les hommes et les femmes.

Large sou­tien à AVS 21

Les affir­ma­tions du comité réfé­ren­daire selon les­quelles les femmes seraient les vic­times de cette réforme sont trom­peuses. De nom­breuses femmes sont favo­rables au pro­jet AVS 21 et ont reconnu l’im­por­tance des ajus­te­ments sys­té­miques. Une nette majo­rité du Par­le­ment et du Conseil fédé­ral est favo­rable à la révi­sion parce qu’elle prend en compte de manière ciblée les femmes, qui sont par­ti­cu­liè­re­ment concer­nées par cette révi­sion. Les 9 pre­mières classes d’âge béné­fi­cie­ront de mesures com­pen­sa­toires sous forme de sup­plé­ments de rente. L’har­mo­ni­sa­tion de l’âge de la retraite des femmes et des hommes est néces­saire. Les femmes vivent en moyenne quatre ans de plus et per­çoivent donc plus long­temps une retraite du pre­mier pilier, où il n’existe pas de défi­cit de pré­voyance liée au sexe.

Durable et équi­table

Un finan­ce­ment durable et équi­table de l’AVS doit être garanti. AVS 21 per­met d’as­su­rer l’équi­libre finan­cier du pre­mier pilier à moyen terme. La flexi­bi­li­sa­tion de la retraite per­met aux per­sonnes de tra­vailler plus long­temps que 65 ans et d’amé­lio­rer ainsi leur retraite. La flexi­bi­li­sa­tion est éga­le­ment un signal fort pour les tra­vailleuses, les tra­vailleurs et les entre­prises. Elle a éga­le­ment pour effet secon­daire posi­tif d’at­té­nuer la pénu­rie de main-d’œuvre qua­li­fiée en Suisse.

Contacts :

• Susanne Vin­cenz-Stauf­fa­cher, conseillère natio­nale et membre du Comité direc­teur, PLR
• Esther Friedli, conseillère natio­nale (UDC)
• Chris­tina Bach­mann-Roth (Le Centre)
• Daniela Schnee­ber­ger, conseillère natio­nale (PLR), vice-pré­si­dente, usam
• Maja Grun­der, membre du comité, Union suisse des pay­sans
• Monika Rühl, pré­si­dente de la direc­tion, eco­no­mie­suisse
• Bri­gitte Lüchin­ger, membre du Comité de direc­tion , Union patro­nale suisse

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