Communiqués de presse jusqu'à 2015

Le clean­tech offre des chances de crois­sance, selon une étude de l’EPFZ

​Une nou­velle étude du Centre de recherches conjonc­tu­relles (KOF) de l’EPFZ le montre clai­re­ment : l’in­no­va­tion dans le domaine du clean­tech explose lit­té­ra­le­ment. Réa­li­sée pour eco­no­mie­suisse, cette étude révèle que le nombre de bre­vets clean­tech a pro­gressé de 227 % entre 2000 et 2008 à l’échelle mon­diale. Sur l’en­semble des bre­vets dépo­sés, la part des bre­vets clean­tech est pas­sée de 2,5 % à 4,1 %. En Suisse, la pro­por­tion de bre­vets clean­tech est la plus éle­vée dans les domaines du trai­te­ment des huiles miné­rales, des pro­duits miné­raux non métal­liques, des pro­duits métal­lur­giques, de la construc­tion des machines, de la chi­mie de base et de la construc­tion auto­mo­bile. La spé­cia­li­sa­tion de la Suisse dans le clean­tech est même supé­rieure à la moyenne dans deux de ces domaines, soit les pro­duits métal­lur­giques et les pro­duits miné­raux non métal­liques. D’après l’étude du KOF, 23,5 % des entre­prises suisses, en moyenne, sont actives dans le clean­tech – leur part atteint même 32 % dans l’in­dus­trie. L’éco­no­mie suisse est donc beau­coup plus active dans ce domaine qu’on ne le sup­po­sait jus­qu’à main­te­nant.