Garan­tir la péren­nité des assu­rances sociales grâce à des méca­nismes d’in­ter­ven­tion

​En intro­dui­sant le frein à l’en­det­te­ment, la Suisse a non seule­ment réussi à jugu­ler la hausse de l’en­det­te­ment qui a mar­qué les années 1990, mais encore à réduire sa dette de quelque 20 mrd fr. depuis 2005. Le taux d’en­det­te­ment de notre pays figure parmi les plus bas du monde. Fon­de­ment d’une poli­tique finan­cière durable, le frein à l’en­det­te­ment est lar­ge­ment reconnu au niveau inter­na­tio­nal. Une source d’en­det­te­ment sub­siste mal­gré tout au niveau de la Confé­dé­ra­tion : les assu­rances sociales. Com­plé­ter le frein à l’en­det­te­ment par un méca­nisme ana­logue pour les assu­rances sociales est donc indis­pen­sable.