Histoire
economiesuisse est la plus ancienne association faîtière nationale d’entreprises du secteur privé du monde. À sa création en 1870, elle devint l’association faîtière des Chambres cantonales de commerce de l’époque, à laquelle furent aussi intégrées des associations de branches.
Christoph Mäder est président d’economiesuisse depuis le 1er octobre 2020. Après ses études à l’Université de Bâle, Christoph Mäder a obtenu le brevet d’avocat. D’abord collaborateur scientifique en droit constitutionnel et administratif à l’Université de Bâle, il travaille ensuite à la Chambre de commerce et d’industrie d’Argovie. À partir de 1992, il est le principal conseiller juridique de Sandoz et de Novartis. Christoph Mäder rejoint, en 2000, la direction du groupe Syngenta, où il assume diverses fonctions pour le groupe et l’ensemble des activités du groupe en Suisse jusqu’en 2018. Parallèlement à ses activités chez Syngenta, Christoph Mäder a également été pendant de nombreuses années président et membre du Comité de scienceindustries ainsi que membre du Comité directeur d’economiesuisse.
Christoph Mäder est président d’economiesuisse depuis le 1er octobre 2020. Après ses études à l’Université de Bâle, Christoph Mäder a obtenu le brevet d’avocat. D’abord collaborateur scientifique en droit constitutionnel et administratif à l’Université de Bâle, il travaille ensuite à la Chambre de commerce et d’industrie d’Argovie. À partir de 1992, il est le principal conseiller juridique de Sandoz et de Novartis. Christoph Mäder rejoint, en 2000, la direction du groupe Syngenta, où il assume diverses fonctions pour le groupe et l’ensemble des activités du groupe en Suisse jusqu’en 2018. Parallèlement à ses activités chez Syngenta, Christoph Mäder a également été pendant de nombreuses années président et membre du Comité de scienceindustries ainsi que membre du Comité directeur d’economiesuisse.
Les Britanniques votent pour la sortie de l’UE; la Suisse est sur le point de sortir de son isolement en Europe, une phase qui a débuté en 1992. Après l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis débute une guerre commerciale entre les trois principaux partenaires commerciaux de la Suisse: les États-Unis, l’UE et la Chine. Les entreprises suisses se voient une nouvelle fois confrontées à une hausse du protectionnisme.
Les Britanniques votent pour la sortie de l’UE; la Suisse est sur le point de sortir de son isolement en Europe, une phase qui a débuté en 1992. Après l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis débute une guerre commerciale entre les trois principaux partenaires commerciaux de la Suisse: les États-Unis, l’UE et la Chine. Les entreprises suisses se voient une nouvelle fois confrontées à une hausse du protectionnisme.
Directrice d’economiesuisse depuis 2014. Après des études de langues romanes à l’Université de Zurich, Monika Rühl entre au service diplomatique et travaille à Berne, Bruxelles et Genève. De 1998 à 2002, elle est conseillère d’ambassade auprès des Nations unies à New York, puis devient secrétaire générale du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche.
Président d'economiesuisse de 2013 à septembre 2020. Après un CFC d’employé de commerce (apprentissage à l’Union de Banques Suisses) et un certificat de maturité, Heinz Karrer, également joueur de handball dans l’équipe suisse, travaille d’abord dans la branche des articles de sport. Il devient directeur de l’Association suisse des fournisseurs d’articles de sport, puis président de la direction et délégué du conseil d’administration d’Intersport Holding. Président de la direction de Ringier Suisse et membre de la direction du groupe de 1995 à 1997. Membre de la direction du groupe Swisscom en charge de la division Marketing & Sales de 1998 à 2002. CEO d’Axpo Holding de 2002 à 2014.
Président d'economiesuisse de 2013 à septembre 2020. Après un CFC d’employé de commerce (apprentissage à l’Union de Banques Suisses) et un certificat de maturité, Heinz Karrer, également joueur de handball dans l’équipe suisse, travaille d’abord dans la branche des articles de sport. Il devient directeur de l’Association suisse des fournisseurs d’articles de sport, puis président de la direction et délégué du conseil d’administration d’Intersport Holding. Président de la direction de Ringier Suisse et membre de la direction du groupe de 1995 à 1997. Membre de la direction du groupe Swisscom en charge de la division Marketing & Sales de 1998 à 2002. CEO d’Axpo Holding de 2002 à 2014.
Directeur ad intérim d’economiesuisse en 2013-2014. D’abord enseignant dans le degré primaire et dans une école professionnelle, Rudolf Minsch entame des études d’économie à l’Université de Saint-Gall, où il effectue sa thèse de doctorat. Il enseigne ensuite à la Haute école technique et économique de Coire. En 2007, il rejoint la fédération en tant que chef économiste.
Président d’economiesuisse de 2012 à 2013. Études de théologie et de philosophie à Bâle et à Zurich. Après sa thèse de doctorat, il entre à la société de conseil McKinsey. Postes de direction chez Credit Suisse, Silent Gliss et Gurit Holding. Vice-président et, de 2012 à 2018, président du conseil d’administration de Clariant.
Directeur d’economiesuisse de 2007 à 2013. Après des études d’économie et de droit ainsi qu’une thèse de doctorat à l’Université de Saint-Gall, Pascal Gentinetta entame sa carrière en tant qu’économiste auprès du Département fédéral des finances où il s’occupe du financement de projets d’infrastructures. Il rejoint le Vorort en 1999 et dirige, en tant que membre de la direction, le domaine Finances et fiscalité d’economiesuisse à partir de 2001. Depuis 2014, il occupe les fonctions de Managing director et Global head public policy au sein de la banque Julius Bär.
Directeur d’economiesuisse de 2007 à 2013. Après des études d’économie et de droit ainsi qu’une thèse de doctorat à l’Université de Saint-Gall, Pascal Gentinetta entame sa carrière en tant qu’économiste auprès du Département fédéral des finances où il s’occupe du financement de projets d’infrastructures. Il rejoint le Vorort en 1999 et dirige, en tant que membre de la direction, le domaine Finances et fiscalité d’economiesuisse à partir de 2001. Depuis 2014, il occupe les fonctions de Managing director et Global head public policy au sein de la banque Julius Bär.
L’acceptation par le peuple de la deuxième réforme de l’imposition des entreprises apporte des améliorations aux petites et moyennes entreprises (PME). Les conditions-cadre pour les PME sont un thème central de la fédération, depuis la publication par le Vorort en 1974 d’un vade-mecum pour petites et moyennes entreprises. Dans les années 1960 et jusque dans les années 1980, le nombre de sociétés anonymes enregistre une croissance vertigineuse. Aujourd’hui, les PME représentent plus de 99% des entreprises suisses et les deux tiers des emplois dans le pays.
L’acceptation par le peuple de la deuxième réforme de l’imposition des entreprises apporte des améliorations aux petites et moyennes entreprises (PME). Les conditions-cadre pour les PME sont un thème central de la fédération, depuis la publication par le Vorort en 1974 d’un vade-mecum pour petites et moyennes entreprises. Dans les années 1960 et jusque dans les années 1980, le nombre de sociétés anonymes enregistre une croissance vertigineuse. Aujourd’hui, les PME représentent plus de 99% des entreprises suisses et les deux tiers des emplois dans le pays.
Président d’economiesuisse de 2007 à 2012. Après des études en économie nationale, Gerod Bührer devient directeur financier chez Georg Fischer, où il siège au conseil d’administration de 2000 à 2019. Jusqu’en 2018, vice-président du conseil d’administration de Swisslife. De 1991 à 2007, conseiller national PLR du canton de Schaffhouse.
Président d’economiesuisse de 2002 à 2007. Après des études à la Haute école de commerce de Saint-Gall, Ueli Forster rejoint, en 1964, l’entreprise textile paternelle Forster Rohner AG, dont il préside le conseil d’administration jusqu’en 2010. Ueli Forster est tour à tour membre du directoire commercial de Saint-Gall, co-fondateur et président de la Chambre de commerce et d’industrie Saint-Gall-Appenzell – organisation qui succède à la première –, membre du Vorort à partir de 1990 et vice-président d’economiesuisse à partir de 2000. De plus, il siège dans plusieurs conseils d’administration, notamment en tant que vice-président de Helvetia Assurances de 1990 à 2008.
Président d’economiesuisse de 2002 à 2007. Après des études à la Haute école de commerce de Saint-Gall, Ueli Forster rejoint, en 1964, l’entreprise textile paternelle Forster Rohner AG, dont il préside le conseil d’administration jusqu’en 2010. Ueli Forster est tour à tour membre du directoire commercial de Saint-Gall, co-fondateur et président de la Chambre de commerce et d’industrie Saint-Gall-Appenzell – organisation qui succède à la première –, membre du Vorort à partir de 1990 et vice-président d’economiesuisse à partir de 2000. De plus, il siège dans plusieurs conseils d’administration, notamment en tant que vice-président de Helvetia Assurances de 1990 à 2008.
Création d’economiesuisse, qui naît de la fusion entre le Vorort et la Société pour le développement de l’économie suisse (SDES). La nouvelle Fédération des entreprises suisses voit officiellement le jour à Lausanne le 15 septembre 2000. La même année, un groupe d’entrepreneurs suisses fondent le think tank Avenir Suisse.
Création d’economiesuisse, qui naît de la fusion entre le Vorort et la Société pour le développement de l’économie suisse (SDES). La nouvelle Fédération des entreprises suisses voit officiellement le jour à Lausanne le 15 septembre 2000. La même année, un groupe d’entrepreneurs suisses fondent le think tank Avenir Suisse.
Rudolf Ramsauer Directeur Vorort, puis economiesuisse Directeur du Vorort, puis d’economiesuisse de 1998 à 2007. Après des études à Berne et à l’Institut de Hautes Études Internationales à Genève, Rudolf Ramsauer entame sa carrière à la Banque populaire suisse. Il travaille ensuite pendant dix-sept ans au service de la Confédération: Office fédéral des affaires économiques extérieures, Ambassade de Suisse à Washington D.C., négociations commerciales multilatérales dans le cadre du GATT (OMC aujourd’hui), vice-directeur de l’Office fédéral des affaires économiques extérieures, ambassadeur et délégué du Conseil fédéral aux accords commerciaux. De 2007 à 2016, directeur de la Communication Monde du groupe Nestlé.
Rudolf Ramsauer Directeur Vorort, puis economiesuisse Directeur du Vorort, puis d’economiesuisse de 1998 à 2007. Après des études à Berne et à l’Institut de Hautes Études Internationales à Genève, Rudolf Ramsauer entame sa carrière à la Banque populaire suisse. Il travaille ensuite pendant dix-sept ans au service de la Confédération: Office fédéral des affaires économiques extérieures, Ambassade de Suisse à Washington D.C., négociations commerciales multilatérales dans le cadre du GATT (OMC aujourd’hui), vice-directeur de l’Office fédéral des affaires économiques extérieures, ambassadeur et délégué du Conseil fédéral aux accords commerciaux. De 2007 à 2016, directeur de la Communication Monde du groupe Nestlé.
Heini Lippuner Président SDES Président de la SDES de 1997 jusqu’à la fusion avec le Vorort et la naissance d’economiesuisse en 2000. CEO de Ciba-Geigy de 1988 à 1996. Mandats d’administrateur dans plusieurs grandes entreprises suisses, dont Novartis SA et Winterthour Assurance, dont il fut vice-président.
Andreas F. Leuenberger Président Vorort, puis economiesuisse Président du Vorort à partir de 1994 et premier président d’economiesuisse après la fusion en 2000 et jusqu’en 2001. Études d’économie à Bâle et à Saint-Gall, thèse de doctorat à l’Université de Neuchâtel. Simultanément COO et vice-président du conseil d’administration de Roche. Administrateur de plusieurs grandes entreprises suisses, dont la compagnie Swisslife comme président et Givaudan comme vice-président. Membre du comité directeur de la SDES depuis 1987. Parmi les faits marquants de sa présidence, le déménagement dans la Maison de l’économie à la Hegibachstrasse 47 à Zurich et la création d’economiesuisse, résultat de la fusion de la SDES et du Vorort.
Andreas F. Leuenberger Président Vorort, puis economiesuisse Président du Vorort à partir de 1994 et premier président d’economiesuisse après la fusion en 2000 et jusqu’en 2001. Études d’économie à Bâle et à Saint-Gall, thèse de doctorat à l’Université de Neuchâtel. Simultanément COO et vice-président du conseil d’administration de Roche. Administrateur de plusieurs grandes entreprises suisses, dont la compagnie Swisslife comme président et Givaudan comme vice-président. Membre du comité directeur de la SDES depuis 1987. Parmi les faits marquants de sa présidence, le déménagement dans la Maison de l’économie à la Hegibachstrasse 47 à Zurich et la création d’economiesuisse, résultat de la fusion de la SDES et du Vorort.
En février 1992, les États de la CE signent le traité de Maastricht qui crée l’UE et pose les fondements d’une monnaie unique. En mai, les États de l’AELE (dont la Suisse) signent le traité de l’EEE avec la CE. Toujours en mai, le peuple accepte l’adhésion de la Suisse au FMI et à la Banque mondiale. En octobre, le Parlement fédéral accepte le traité EEE, en novembre, les sections du Vorort se prononcent en faveur de l’adhésion à l’EEE. Tous les États de l’AELE, y compris la Suisse, déposent une demande d’adhésion à la CE. Le 6 décembre, par référendum, le peuple refuse de peu l’adhésion de la Suisse à l’EEE.
En février 1992, les États de la CE signent le traité de Maastricht qui crée l’UE et pose les fondements d’une monnaie unique. En mai, les États de l’AELE (dont la Suisse) signent le traité de l’EEE avec la CE. Toujours en mai, le peuple accepte l’adhésion de la Suisse au FMI et à la Banque mondiale. En octobre, le Parlement fédéral accepte le traité EEE, en novembre, les sections du Vorort se prononcent en faveur de l’adhésion à l’EEE. Tous les États de l’AELE, y compris la Suisse, déposent une demande d’adhésion à la CE. Le 6 décembre, par référendum, le peuple refuse de peu l’adhésion de la Suisse à l’EEE.
Hans K. Jucker Président SDES Président de la SDES de 1991 à 1997. Thèse de doctorat à l’EPFZ. CEO et président du conseil d’administration d’Alusuisse et membre du conseil d’administration de l’UBS.
Directeur de la Société pour le développement de l’économie suisse de 1990 à 2000. Avocat bernois, M. Kummer entre à la Direction de la justice du canton de Berne en tant que secrétaire. En 1978, il intègre le Vorort toujours en tant que secrétaire, puis rejoint le groupe Zurich, à la tête des Corporate public affairs quelques années durant. Matthias Kummer quitte la SDES avant sa fusion avec le Vorort pour fonder une société de conseil spécialisée dans les questions financières.
Directeur de la Société pour le développement de l’économie suisse de 1990 à 2000. Avocat bernois, M. Kummer entre à la Direction de la justice du canton de Berne en tant que secrétaire. En 1978, il intègre le Vorort toujours en tant que secrétaire, puis rejoint le groupe Zurich, à la tête des Corporate public affairs quelques années durant. Matthias Kummer quitte la SDES avant sa fusion avec le Vorort pour fonder une société de conseil spécialisée dans les questions financières.
André Reymond Président SDES Président de la SDES de 1989 à 1990. Directeur des Ateliers Charmilles à Genève (aujourd’hui Georg Fischer). Vice-président de l’Union patronale suisse et membre du comité directeur de l’Association patronale suisse de l’industrie des machines (aujourd’hui Swissmem).
Président du Vorort de 1987 à 1993. Il fait carrière dans l’entreprise Sulzer à Winterthour, où il a grandi.
Biographie de Pierre Borgeaud sur DHSKurt Moser Directeur Vorort Directeur du Vorort de 1987 à 1998. Différentes fonctions chez Ciba-Geigy, notamment en tant que secrétaire général. Séjours de plusieurs années à Singapour et à Hong Kong. Membre du conseil d’administration des PTT.
Président de la SDES de 1987 à 1989. Thèse de doctorat à l’EPFZ. Travaille à la tête de différentes entreprises suisses.
Lancement du cycle de l’Uruguay, qui vise à remplacer l’accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) par l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Le Vorort accompagne les entreprises suisses dans la transition d’une société industrielle vers une société de services et la SDES défend la globalisation auprès de la population. Porte-voix des entreprises multinationales ayant leur siège en Suisse, le Vorort devient la cible des opposants – à gauche, à droite et dans les rangs de l’écologie – à la globalisation.
Lancement du cycle de l’Uruguay, qui vise à remplacer l’accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) par l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Le Vorort accompagne les entreprises suisses dans la transition d’une société industrielle vers une société de services et la SDES défend la globalisation auprès de la population. Porte-voix des entreprises multinationales ayant leur siège en Suisse, le Vorort devient la cible des opposants – à gauche, à droite et dans les rangs de l’écologie – à la globalisation.
Président du Vorort de 1976 à 1987. Administrateur de l’entreprise chimique Geigy à Bâle. Artisan de la fusion qui crée Ciba-Geigy et, plus tard, de la fusion avec Sandoz qui donne naissance à Novartis.
Biographie de Louis von Planta sur DHSLe Vorort se dote d’une stratégie de l’information et charge Kurt Wild des relations publiques. Après un siècle d’existence, l’association apparaît officiellement au grand jour. Cette ouverture s’effectue en étroite collaboration entre le directeur du Vorort, Gerhard Winterberger, et le directeur de la SDES, Richard Reich.
Directeur de la SDES de 1971 à 1990. Rédacteur de la «Neue Zürcher Zeitung», puis des Schweizer Monatshefte, qu’il préside à partir de 1982.
Biographie de Richard Reich sur DHSPrésident de la SDES de 1971 à 1987. Docteur en droit, président du conseil d’administration Micro-Electric SA, de Diners Club Suisse SA, de la GipsUnion AG, président de la banque CA St. Gallen (aujourd’hui Acrevis). Administrateur du cimentier Holderbank-Holcim, président du conseil d’administration de la Banque Cantonale Bernoise.
Directeur du Vorort de 1970 à 1987.
Biographie de Gerhard Winterberger sur DHSPrésident du Vorort de 1970 à 1976. Le Genevois Etienne Junod est aussi directeur de l’entreprise chimique bâloise Hoffmann-La Roche.
Biographie d’Etienne Junod sur DHSDirecteur du Vorort de 1966 à 1970. Études et thèse de doctorat en économie nationale, activité dans l’économie privée, puis auprès du Service fédéral du contrôle des prix. Entre au Vorort en 1937 et y travaille comme premier secrétaire sous le directeur Heinrich Homberger de 1939 à 1966.
Président de la SDES de 1966 à 1971. Administrateur de la Société de Banque Suisse, vice-président du conseil d’administration de Globus SA, vice-président de la Teinturerie Weidmann SA à Thalwil.
Président du Vorort de 1964 à 1970. Hans Robert Schwarzenbach dirige l’entreprise textile familiale à Zurich.
Biographie de Hans Robert Schwarzenbach sur DHSPrésident de la SDES de 1963 à 1966. Propriétaire de la fabrique de ciment Holderbank.
Biographie de Max Schmidheiny sur DHSAprès la création de la Communauté économique européenne (CEE) en 1957, les «Sept de l’extérieur» (Outer Seven), à savoir la Grande-Bretagne, l’Autriche, la Norvège, la Suède, le Danemark, le Portugal et la Suisse, fondent l’Association européenne de libre-échange (AELE). Les sections du Vorort se prononcent en faveur de l’adhésion de la Suisse à l’AELE. Le directeur du Vorort siège automatiquement au Comité consultatif de l’AELE.
Après la création de la Communauté économique européenne (CEE) en 1957, les «Sept de l’extérieur» (Outer Seven), à savoir la Grande-Bretagne, l’Autriche, la Norvège, la Suède, le Danemark, le Portugal et la Suisse, fondent l’Association européenne de libre-échange (AELE). Les sections du Vorort se prononcent en faveur de l’adhésion de la Suisse à l’AELE. Le directeur du Vorort siège automatiquement au Comité consultatif de l’AELE.
L’Europe de l’ouest est divisée en deux blocs économiques. En 1957, les «Six», soit la France, l’Allemagne, l’Italie ainsi que la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas, instituent la Communauté économique européenne. La Suisse fait partie du bloc des «Sept de l’extérieur», avec la Grande-Bretagne, l’Autriche, la Norvège, la Suède, le Danemark et le Portugal. Les «Sept» entament des négociations avec la CEE pour l’accès au marché.
L’Europe de l’ouest est divisée en deux blocs économiques. En 1957, les «Six», soit la France, l’Allemagne, l’Italie ainsi que la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas, instituent la Communauté économique européenne. La Suisse fait partie du bloc des «Sept de l’extérieur», avec la Grande-Bretagne, l’Autriche, la Norvège, la Suède, le Danemark et le Portugal. Les «Sept» entament des négociations avec la CEE pour l’accès au marché.
Directeur de la SDES de 1955 à 1970. Politicien libéral genevois. Dirige le bureau romand de la SDES dès 1943.
Biographie de Raymond Deonna sur DHSPrésident du Vorort de 1951 à 1964. Le Bâlois Carl Koechlin travaille dans le groupe chimique Geigy SA.
Biographie de Carl Koechlin sur DHSPrésident de la SDES de 1948 à 1963. Le Schaffhousois Georg Fischer développe l’entreprise Maag AG de Zurich en un groupe industriel d’envergure internationale.
Biographie de Georg Fischer sur DHSPrésident de la SDES de 1946 à 1948. Le Bâlois Ernst Speiser est aussi directeur de l’entreprise BBC à Baden.
Biographie d’Ernst Speiser sur DHSFin de la Seconde Guerre mondiale. Le Vorort fête ses 75 ans. Devant les délégués, son président, Hans Sulzer, exhorte les entreprises suisses à laisser tomber les célébrations et à montrer l’exemple en travaillant dur et en faisant preuve de responsabilité sociale: «Retroussons nos manches et mettons-nous au travail.»
Le 20 novembre 1942, un groupe d’entrepreneurs fonde la Société pour le développement de l’économie suisse (SDES). Celle-ci entame son activité le 1er mars 1943. La SDES remplace le comité d’action des organisations économiques qui s’était formé en 1935 et qui s’était rencontré de manière sporadique depuis. Jusqu’à sa fusion avec le Vorort et la naissance d’economiesuisse en 2000, la SDES a des bureaux à Zurich, Genève, Berne et Lugano et publie le «Bulletin de documentation économique».
Le 20 novembre 1942, un groupe d’entrepreneurs fonde la Société pour le développement de l’économie suisse (SDES). Celle-ci entame son activité le 1er mars 1943. La SDES remplace le comité d’action des organisations économiques qui s’était formé en 1935 et qui s’était rencontré de manière sporadique depuis. Jusqu’à sa fusion avec le Vorort et la naissance d’economiesuisse en 2000, la SDES a des bureaux à Zurich, Genève, Berne et Lugano et publie le «Bulletin de documentation économique».
Fondateur et premier président de la SDES. Directeur de l’entreprise Georg Fischer et député au Conseil des États (canton de Schaffhouse).
Biographie de Julius Bührer sur DHSDirecteur de la SDES de 1943 à 1955. Originaire de Soleure. Rédacteur du journal «Basler Nachrichten», connu pour ses positions libérales durant la Seconde Guerre mondiale.
Biographie de Hermann Büchi sur DHSDirecteur du Vorort de 1939 à 1965. Heinrich Homberger entre au Vorort en 1922, dont il est d’abord secrétaire. Il en devient le premier directeur en 1939.
Biographie de Heinrich Homberger sur DHSPrésident du Vorort de 1935 à 1951. Président du conseil d’administration de Sulzer Frères SA. Pendant les deux guerres mondiales, envoyé du Conseil fédéral au rang de ministre et participant aux négociations de Washington, Londres et Berlin. L’un des pères fondateurs du Schweizerische Institut für Auslandsforschung à Zurich et membre de la Société du Mont-Pèlerin.
Président du Vorort de 1935 à 1951. Président du conseil d’administration de Sulzer Frères SA. Pendant les deux guerres mondiales, envoyé du Conseil fédéral au rang de ministre et participant aux négociations de Washington, Londres et Berlin. L’un des pères fondateurs du Schweizerische Institut für Auslandsforschung à Zurich et membre de la Société du Mont-Pèlerin.
Après l’effondrement du système financier international, le secrétaire du Vorort, Otto Hulftegger, négocie le premier contrat de compensation du monde entre la Suisse et l’Autriche-Hongrie.
Création de l’Office suisse d’expansion commerciale (Osec, aujourd’hui Switzerland Global Enterprise). Son premier président est le vice-président exécutif du Vorort, Ernst Wetter. Face à la montée du protectionnisme, le Vorort soutient les efforts de la Société des Nations – dont la Suisse fait partie – visant à abolir les obstacles au commerce. Le Vorort prie le Conseil fédéral de mettre en œuvre les recommandations de la conférence sur le commerce de la Société des Nations.
Création de l’Office suisse d’expansion commerciale (Osec, aujourd’hui Switzerland Global Enterprise). Son premier président est le vice-président exécutif du Vorort, Ernst Wetter. Face à la montée du protectionnisme, le Vorort soutient les efforts de la Société des Nations – dont la Suisse fait partie – visant à abolir les obstacles au commerce. Le Vorort prie le Conseil fédéral de mettre en œuvre les recommandations de la conférence sur le commerce de la Société des Nations.
Président du Vorort de 1924 à 1934. John Syz naît à New York et grandit à Zurich. Il travaille comme négociant à Paris, Londres et aux États-Unis, avant de diriger une entreprise de tissage à Dietikon.
Biographie de John Syz sur DHSVice-président exécutif du Vorort de 1924 à 1939. Études d’économie nationale à l’Université de Zurich, jusqu’à l’habilitation. Brièvement directeur au Commerce de la Confédération. Rejoint le Vorort en 1924. Élection au Conseil fédéral en 1939.
Biographie d’Ernst Wetter sur DHSPrésident du Vorort de 1917 à 1924. Premier employé à plein temps du Vorort. Licence et doctorat en droit et en économie à l’Université de Zurich. Au Vorort depuis 1882, d’abord comme secrétaire. Il en prend la direction à partir de 1900 en tant que vice-président exécutif.
Biographie d’Alfred Frey sur DHSPrésident du Vorort de 1900 à 1917. Marchand zurichois, à la tête de la plus grande filature de Suisse, Wunderly, Zollinger & Co. Il siège également au Conseil national.
Biographie de Hans Wuderly-von Muralt sur DHSAvec la création de l’Union suisse des paysans en 1897, les associations faîtières de l’État fédéral sont au complet. Voient également le jour à cette époque l’Union suisse des arts et métiers (1879), l’Union syndicale suisse (1881) et l’Union patronale suisse (1908). Depuis 1932 et jusqu’au XXIe siècle, leurs directeurs se rencontrent au sein de la Délégation économique permanente avec le Secrétaire d’État de l’Office fédéral des affaires économiques extérieures.
Avec la création de l’Union suisse des paysans en 1897, les associations faîtières de l’État fédéral sont au complet. Voient également le jour à cette époque l’Union suisse des arts et métiers (1879), l’Union syndicale suisse (1881) et l’Union patronale suisse (1908). Depuis 1932 et jusqu’au XXIe siècle, leurs directeurs se rencontrent au sein de la Délégation économique permanente avec le Secrétaire d’État de l’Office fédéral des affaires économiques extérieures.
Fin du système de tournus du Vorort, Zurich devient le Vorort «permanent». En 1931, le siège est implanté à Zurich où il se trouve encore aujourd’hui. Les chambres de commerce cantonales se réunissent en une Chambre suisse du Commerce (SHK), dont la présidence est assumée à tour de rôle par les membres.
Président du Vorort de 1882 à 1890. Le marchand zurichois Conrad Cramer-Frey travaille plusieurs années au Brésil. De retour en Suisse, il siège au Conseil national et préside la Société zurichoise des commerçants (aujourd’hui Chambre de commerce de Zurich).
Biographie de Conrad Cramer-Frey sur DHSPrésident du Vorort de 1880 à 1882. Banquier genevois. Fondateur de la Chambre de commerce de Genève en 1865 et cofondateur du Vorort en 1870.
Biographie d’Ernest Pictet sur DHSLe Vorort nomme Arnold Eichmann secrétaire et emploie son premier collaborateur. Personne ne pensant à prolonger son contrat de travail, Arnold Eichmann entre au service de la Confédération. Il sera d’abord secrétaire du Bureau fédéral du commerce, puis directeur de la division du Commerce.
Le Vorort nomme Arnold Eichmann secrétaire et emploie son premier collaborateur. Personne ne pensant à prolonger son contrat de travail, Arnold Eichmann entre au service de la Confédération. Il sera d’abord secrétaire du Bureau fédéral du commerce, puis directeur de la division du Commerce.
Président du Vorort de 1878 à 1880. Associé de la soierie Bürkli Frères à Zurich.
Biographie de Konrad Bürkli sur DHSPrésident du Vorort de 1876 à 1878. Le fabricant de rubans de soie et banquier bâlois est l’un des pères fondateurs de l’Union bâloise du commerce et de l’industrie. En 1879, plénipotentiaire de la Confédération lors de la conclusion de l’accord commercial avec l’Italie.
Biographie d’Alphons Koechlin sur DHSLors de la révision totale de la Constitution fédérale, le principe de la liberté du commerce et de l’industrie et le référendum sont ancrés dans la Constitution. Le Vorort obtient ainsi son rôle dans l’État fédéral.
Lors de la révision totale de la Constitution fédérale, le principe de la liberté du commerce et de l’industrie et le référendum sont ancrés dans la Constitution. Le Vorort obtient ainsi son rôle dans l’État fédéral.
Président du Vorort de 1874 à 1876. Carl Emil Viktor von Gonzenbach est associé de l’entreprise textile saint-galloise Frères Gonzenbach. Après des séjours en Italie et au Proche-Orient, il préside le directoire commercial de Saint-Gall. Avec Peter Jenny, l’un des artisans de la création du Vorort.
Biographie de Carl Emil Viktor von Grozenbach sur DHSPrésident du Vorort de 1872 à 1874. Leonhard Steiner reprend la soierie paternelle. Président de la Bourse de Zurich et président de la Société zurichoise des commerçants (aujourd’hui Chambre de commerce de Zurich). Après de lourdes pertes financières et la liquidation de l’entreprise, il se fait un nom comme peintre et écrivain.
Biographie de Leonhard Steiner sur DHSCréation de l’Union suisse du commerce et de l’industrie (USCI) le 12 mars à Berne. Selon les premiers statuts, elle est présidée à tour de rôle pendant une année par l’une des chambres de commerce cantonales, qui en tient lieu de comité directeur («Vorort»). Le mot Vorort finit par désigner l’association elle-même.
Création de l’Union suisse du commerce et de l’industrie (USCI) le 12 mars à Berne. Selon les premiers statuts, elle est présidée à tour de rôle pendant une année par l’une des chambres de commerce cantonales, qui en tient lieu de comité directeur («Vorort»). Le mot Vorort finit par désigner l’association elle-même.
Président du Vorort de 1870 à 1872. Alfred Ernst est associé de la banque bernoise von Wattenwyl Ernst et Cie., qui devient plus tard la Banque commerciale de Berne. De 1869 à 1875, président de l’Union du commerce et de l’industrie du canton de Berne, qui tiendra lieu de premier Vorort à la toute jeune Union suisse du commerce et de l’industrie dont il sera le premier président. En 1875, il devient directeur de la Banque cantonale du Tessin à Bellinzone.
Président du Vorort de 1870 à 1872. Alfred Ernst est associé de la banque bernoise von Wattenwyl Ernst et Cie., qui devient plus tard la Banque commerciale de Berne. De 1869 à 1875, président de l’Union du commerce et de l’industrie du canton de Berne, qui tiendra lieu de premier Vorort à la toute jeune Union suisse du commerce et de l’industrie dont il sera le premier président. En 1875, il devient directeur de la Banque cantonale du Tessin à Bellinzone.
Instigateur de l’Union suisse du commerce et de l’industrie (Vorort). Alors qu’il était président de la commission du commerce de Glaris, il demande en 1869 à plusieurs chambres de commerce cantonales dans quelle mesure elles seraient intéressées de fonder une union nationale du commerce et de l’industrie. Fils d’agriculteurs, il commence par accomplir un apprentissage de commerce en Italie, puis travaille pour une société allemande à Singapour. Il fonde ensuite sa propre entreprise à Manille, aux Philippines, où par ailleurs il représente la Suisse en tant que consul. En Suisse, il dirige avec sa belle-famille une entreprise d’indiennes et Blumer & Jenny, une maison de commerce internationale qui avait son siège à Schwanden, dans le canton de Glaris. Le Hänggiturm de l’indiennerie, placé aujourd’hui sous la protection du patrimoine, abrite aujourd’hui les Archives économiques de Glaris. Autrefois, les étoffes teintes y étaient suspendues en longs rubans pour sécher.
Instigateur de l’Union suisse du commerce et de l’industrie (Vorort). Alors qu’il était président de la commission du commerce de Glaris, il demande en 1869 à plusieurs chambres de commerce cantonales dans quelle mesure elles seraient intéressées de fonder une union nationale du commerce et de l’industrie. Fils d’agriculteurs, il commence par accomplir un apprentissage de commerce en Italie, puis travaille pour une société allemande à Singapour. Il fonde ensuite sa propre entreprise à Manille, aux Philippines, où par ailleurs il représente la Suisse en tant que consul. En Suisse, il dirige avec sa belle-famille une entreprise d’indiennes et Blumer & Jenny, une maison de commerce internationale qui avait son siège à Schwanden, dans le canton de Glaris. Le Hänggiturm de l’indiennerie, placé aujourd’hui sous la protection du patrimoine, abrite aujourd’hui les Archives économiques de Glaris. Autrefois, les étoffes teintes y étaient suspendues en longs rubans pour sécher.
Plusieurs cantons inscrivent la liberté du commerce et de l’industrie dans leurs nouvelles constitutions. Le député britannique à la Chambre des communes, Sir John Bowring, visite la Suisse pour étudier le libre-échange dans la pratique. En 1836, il rédige le Report on the Commerce and Manufactures of Switzerland, presented to both houses of parliament by command of His Majesty. Il s’agit du premier rapport sur les organisations commerciales et industrielles des cantons suisses.
Plusieurs cantons inscrivent la liberté du commerce et de l’industrie dans leurs nouvelles constitutions. Le député britannique à la Chambre des communes, Sir John Bowring, visite la Suisse pour étudier le libre-échange dans la pratique. En 1836, il rédige le Report on the Commerce and Manufactures of Switzerland, presented to both houses of parliament by command of His Majesty. Il s’agit du premier rapport sur les organisations commerciales et industrielles des cantons suisses.
Avec la proclamation de la République helvétique en septembre 1798, toutes les chambres de commerce des cantons sont dissoutes, à l’exception de celles de Saint-Gall et de Zurich. Après la médiation de 1803, de nouvelles et puissantes chambres de commerce se développent à nouveau rapidement en réponse au blocus continental décidé par Napoléon et à la guerre économique qui s’ensuit (de 1806 à 1813).
Avec la proclamation de la République helvétique en septembre 1798, toutes les chambres de commerce des cantons sont dissoutes, à l’exception de celles de Saint-Gall et de Zurich. Après la médiation de 1803, de nouvelles et puissantes chambres de commerce se développent à nouveau rapidement en réponse au blocus continental décidé par Napoléon et à la guerre économique qui s’ensuit (de 1806 à 1813).
Création du Directoire commercial de Saint-Gall, la plus vieille chambre de commerce de Suisse. Celle-ci remonte à son tour à la société du Notenstein, qui évoluait au côté des corporations artisanales. Le bâtiment qui abritait la société de Notenstein jouxtait le Brühltor de la ville de Saint-Gall.
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Au printemps 2021, le livre «En dialogue avec le monde. Les entreprises suisses aux XIXe et XXe siècles» d’Andrea Franc, spécialiste bâloise de l’histoire économique, est publié chez l’éditeur Hier+Jetzt. Cette petite histoire économique de la Suisse emmènera le lecteur des balbutiements de l’industrie textile dans le canton de Glaris à aujourd’hui, l’ère d’«America first», et au-delà. Vous pouvez précommander le livre au moyen du formulaire ci-dessous. Le livre coûte 44 CHF plus 7 CHF de frais de port. Les commandes sont considérées comme fermes.