Le cleantech passionne
Plus de 100 personnes ont participé à la manifestation organisée par economiesuisse sur les perpectives des cleantech. Les exposés et le débat qui ont suivi ont montré la diversité des pistes existantes pour stimuler le développement de produits et de services qui réduisent la consommation de ressources et les émissions polluantes.
Le produit avant tout
Les discussions sur les cleantech se focalisent souvent sur les subventions et les réglementations étatiques censées favoriser l’émergence de nouvelles activités économiques. Pour Hugo Van Buel, directeur de l’entreprise Cla-Val, la priorité est ailleurs. Exemples à l’appui, il a montré que seuls des produits qui répondent à un besoin au bon moment et à un prix acceptable peuvent assurer le succès des cleantech.
Créer un terreau favorable
Selon Ursula Renold, directrice de l’Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie, la Confédération ne s’engagera pas dans le soutien ciblé de telle ou telle activité, mais souhaite créer un terreau favorable aux cleantech. Cela passera par le démantèlement d’obstacles réglementaires, un effort de formation, de recherche et de transfert de technologie, ainsi qu’une meilleure promotion du savoir-faire suisse à l’étranger. La collaboration de tous les milieux concernés sera aussi renforcée.
La Suisse romande unit ses forces
Le développement de réseaux de collaboration est justement au cœur de l’activité de CleantechAlps, l’organisation pionnière mise en place par les cantons romands et présentée par Eric Plan, son secrétaire général. Les objectifs sont d’assurer la notoriété de la région, de favoriser l’internationalisation des sociétés et de développer des réseaux spécifiques. Ces efforts donnent déjà des résultats visibles, en particulier à l’export.
Un avenir prometteur
Pour Dominique Reber, d’economiesuisse, le monde consomme de plus en plus de ressources…et aura donc besoin de plus en plus de cleantech. La Suisse est bien placée pour se tailler de belles parts de marché. Les entreprises helvétiques ont en effet l’habitude de ne pas gaspiller ressources et de transformer les innovations en produits et des services performants. Afin d’accélérer le mouvement, la Suisse doit commencer par démanteler les réglementations néfastes plutôt que d’en créer de nouvelles et ouvrir davantage ses marchés et ceux des autres pays.
Exposés (PDF)
La conférence-débat « Cleantech, des paroles aux actes » a eu lieu le 9 janvier 2012. Elle a été organisée par economiesuisse, en collaboration avec CleantechAlps, Bilan, les chambres de commerce romandes et la Fédération des entreprises romandes.
Les discussions sur les cleantech se focalisent souvent sur les subventions et les réglementations étatiques censées favoriser l’émergence de nouvelles activités économiques. Pour Hugo Van Buel, directeur de l’entreprise Cla-Val, la priorité est ailleurs. Exemples à l’appui, il a montré que seuls des produits qui répondent à un besoin au bon moment et à un prix acceptable peuvent assurer le succès des cleantech.
Créer un terreau favorable
Selon Ursula Renold, directrice de l’Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie, la Confédération ne s’engagera pas dans le soutien ciblé de telle ou telle activité, mais souhaite créer un terreau favorable aux cleantech. Cela passera par le démantèlement d’obstacles réglementaires, un effort de formation, de recherche et de transfert de technologie, ainsi qu’une meilleure promotion du savoir-faire suisse à l’étranger. La collaboration de tous les milieux concernés sera aussi renforcée.
La Suisse romande unit ses forces
Le développement de réseaux de collaboration est justement au cœur de l’activité de CleantechAlps, l’organisation pionnière mise en place par les cantons romands et présentée par Eric Plan, son secrétaire général. Les objectifs sont d’assurer la notoriété de la région, de favoriser l’internationalisation des sociétés et de développer des réseaux spécifiques. Ces efforts donnent déjà des résultats visibles, en particulier à l’export.
Un avenir prometteur
Pour Dominique Reber, d’economiesuisse, le monde consomme de plus en plus de ressources…et aura donc besoin de plus en plus de cleantech. La Suisse est bien placée pour se tailler de belles parts de marché. Les entreprises helvétiques ont en effet l’habitude de ne pas gaspiller ressources et de transformer les innovations en produits et des services performants. Afin d’accélérer le mouvement, la Suisse doit commencer par démanteler les réglementations néfastes plutôt que d’en créer de nouvelles et ouvrir davantage ses marchés et ceux des autres pays.
Exposés (PDF)
La conférence-débat « Cleantech, des paroles aux actes » a eu lieu le 9 janvier 2012. Elle a été organisée par economiesuisse, en collaboration avec CleantechAlps, Bilan, les chambres de commerce romandes et la Fédération des entreprises romandes.