Stra­té­gie éner­gé­tique : deux décen­nies de crois­sance pas­sées par pertes et pro­fits ?

​Une nou­velle étude de l’EPFZ conclut à un impact mas­sif sur le pro­duit inté­rieur brut
Les consé­quences éco­no­miques de la stra­té­gie éner­gé­tique 2050 sont plus impor­tantes que sup­posé jus­qu’ici. En l’ab­sence de sauts tech­no­lo­giques, la Suisse risque, selon le scé­na­rio, de voir son pro­duit inté­rieur brut réel recu­ler de presque 25 %. Telles sont les conclu­sions d’une étude man­da­tée par eco­no­mie­suisse auprès de Peter Egger, pro­fes­seur au Centre de recherches conjonc­tu­relles (KOF) de l’EFPZ. Ces esti­ma­tions divergent for­te­ment de celles de la Confé­dé­ra­tion, ce qui s’ex­plique par l’uti­li­sa­tion d’hy­po­thèses dif­fé­rentes.
 
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