Le prix unique du livre est défa­vo­rable aux lec­teurs et crée une insé­cu­rité juri­dique

​Le livre est un bien cultu­rel. C’est pré­ci­sé­ment pour cette rai­son qu’il ne faut pas régle­men­ter son prix. Le prix unique ne per­met­trait pas de main­te­nir la diver­sité ni de pro­té­ger les librai­ries. Ce sont les lec­teurs qui en feraient les frais puis­qu’ils devraient débour­ser davan­tage pour un livre. De plus, le com­merce du livre se porte bien : une régle­men­ta­tion éta­tique n’est pas néces­saire.
​Jeudi, lors d’une confé­rence de presse du Comité « Prix unique du livre : défa­vo­rable aux lec­teurs »