Heu­reuse et fière de m’en­ga­ger en faveur d’une éco­no­mie pros­père

​Pen­dant mon acti­vité au ser­vice de la Confé­dé­ra­tion, j’ai eu l’oc­ca­sion de conce­voir et de diri­ger d’in­nom­brables mis­sions éco­no­miques pour plu­sieurs conseillers fédé­raux. L’ob­jec­tif ultime était tou­jours de créer des condi­tions-cadre opti­males pour nos entre­prises sur les mar­chés mon­diaux et de sou­te­nir les entre­prises en pré­sence de pro­blèmes concrets, comme lors de dif­fi­cul­tés liées aux for­ma­li­tés doua­nières. Au tra­vers de l’étroite col­la­bo­ra­tion éta­blie avec des asso­cia­tions et des entre­prises, j’ai com­pris com­ment pensent les entre­pre­neurs et ce qui les pré­oc­cupe.

​J’ai aussi eu la pos­si­bi­lité de visi­ter des entre­prises actives dans diverses branches et implan­tées dans toutes les régions du pays. Leur inven­ti­vité et leur esprit d’en­tre­prise m’ont fas­ci­née. C’est impres­sion­nant de voir ce que l’éco­no­mie arrive à réa­li­ser dans un pays aussi petit que la Suisse. Il n’est pas rare que des PME et des groupes à l’étran­ger fassent affaire ensemble depuis des décen­nies déjà. Nous pou­vons être fiers de la com­pé­ti­ti­vité de notre éco­no­mie et de ses suc­cès. Nous devrions gar­der plus sou­vent à l’es­prit sa contri­bu­tion à la pros­pé­rité de notre pays.

En tant que nou­velle direc­trice d’eco­no­mie­suisse, j’ai­me­rais par­ta­ger la fierté et la joie que j’éprouve à m’en­ga­ger en faveur de condi­tions-cadre éco­no­miques opti­males. Pour ce faire, je peux comp­ter sur une équipe enga­gée et moti­vée à Zurich, Genève, Lugano, Berne et Bruxelles, qui a déjà fait un gros tra­vail dans ce sens. Je me réjouis éga­le­ment de dia­lo­guer avec nos membres, les repré­sen­tants des milieux poli­tiques et la société. À mes yeux, il est clair que c’est ensemble seule­ment que nous par­vien­drons à rele­ver les défis actuels et à venir. Une éco­no­mie forte, c’est une Suisse forte.