Poli­tique de l’in­no­va­tion en Suisse : fac­teurs de suc­cès et impasses

​Si l’in­no­va­tion est pour IBM une trans­for­ma­tion constante lui per­met­tant de s’im­po­ser dans la branche de la tech­no­lo­gie, c’est aussi un élé­ment capi­tal de sa stra­té­gie d’en­tre­prise. Il est donc com­pré­hen­sible qu’elle inves­tisse chaque année quelque six mil­liards de dol­lars US dans la recherche et le déve­lop­pe­ment, et occupe de ce fait depuis des années une posi­tion de pre­mier plan à l’échelle mon­diale en ce qui concerne l’en­re­gis­tre­ment de bre­vets. Mais l’in­no­va­tion, c’est aussi une pen­sée créa­tive et le cou­rage de suivre des idées nou­velles, car seules les entre­prises inno­vantes peuvent s’im­po­ser sur le mar­ché.