Éner­gie : le modèle de pres­crip­tion can­to­nal va au-delà de l’ob­jec­tif

​Les pro­po­si­tions en vue de l’éla­bo­ra­tion d’un nou­veau modèle de pres­crip­tions éner­gé­tiques vont au-delà des lois actuelles dans les domaines de l’éner­gie et du cli­mat. C’est le cas de l’in­ter­dic­tion de facto d’uti­li­ser des éner­gies fos­siles pour de nou­velles construc­tions et des mesures en cas d’as­sai­nis­se­ment de bâti­ments, qui génè­re­ront des coûts éle­vés. Le pro­jet se foca­lise sur l’en­ve­loppe des bâti­ments (iso­la­tion) et exclut la majo­rité des tech­niques de ges­tion intel­li­gente des bâti­ments, rai­son pour laquelle il abou­tit à des solu­tions inef­fi­caces et coû­teuses. Les gros consom­ma­teurs pré­co­nisent des objec­tifs har­mo­ni­sés à l’échelle natio­nale et la recon­nais­sance réci­proque des objec­tifs dans tous les can­tons. eco­no­mie­suisse pro­pose de revoir com­plè­te­ment les pres­crip­tions pré­vues dans le domaine du bâti­ment. Les prin­ci­paux acteurs des branches de l’im­mo­bi­lier, du bâti­ment, de l’éner­gé­tique du bâti­ment et de la tech­nique doivent être impli­qués dans le pro­ces­sus.